La psychothérapie brève systémique débloque rapidement des situations de tristesse profonde, permet de reprendre confiance, de retrouver son énergie et sa créativité. Les nuages s’écartent, le soleil revient, car on s’y prend autrement avec soi.
Psychothérapeute systémicienne à la Maison Papillon à Montpellier, je vous propose de découvrir l’histoire d’un jeune homme que la tristesse immense empêchait de faire ce qu’il adorait par dessus tout, suivre des études de graphisme !
Dépasser la dépression en dépensant méthodiquement sa réserve de tristesse.
Une thérapie éclair aux résultats durables dans le temps.
Sam, mon client, âgé de 20 ans, était assailli par des vagues de tristesse profonde qui le paralysaient. Il ne parvenait plus à aller en cours, ni à travailler chez lui, il n’avait plus aucune énergie. Il faisait pourtant des études qui lui plaisaient beaucoup. Il semblait venir d’un autre temps, se renfermait de jour en jour.
Après avoir consulté mon site, il a choisi de venir me voir car le travail concret que je propose sur les tendances de la personnalité lui ont donné l’espoir de s’en sortir rapidement.
Il vient à son premier entretien de psychothérapie dans un état de profond désarroi. Il dit qu’il voudrait aider ceux qui souffrent, faire en sorte que tous se connaissent dans son école, et veut du contact avec tous.
Ses parents ont divorcé quand il avait 10 ans, après d’énormes disputes. Ils n’avaient pas de temps pour lui. Heureusement, il avait sa grande sœur qui suppléait. Mais celle-ci est partie dans une autre ville pour étudier et l’a « abandonné », il n’avait pas compris qu’elle partait, elle n’a pas pris la mesure de son désarroi, ni de l’importance qu’elle avait pour lui. Et là, à 12 ans il s’effondre, ne travaille plus. Hôpital psychiatrique, avec traitement chimique…
Puis il a repris le dessus, mais les poches de tristesse étaient toujours là.
Il avait besoin de se rendre compte qu’il avait vraiment été lésé et que sa souffrance était juste. Il devait la traverser pour s’en libérer et en faire une force. Comment ? Le roman du traumatisme, tâche capitale de la psychothérapie brève systémique, l’a aidé à revenir sur les émotions qui étaient restées coincées dans ces événements douloureux. Et il a pu continuer son travail au bout de quelques séances de psychothérapie.
Qu’est-ce que le roman du traumatisme ? Il s’agit de prendre un souvenir douloureux, et tous les jours à heure fixe, on raconte de façon émotionnelle et sensorielle, par écrit, le souvenir dans tous les détails, et on déchire sans relire. Au fur et à mesure, des détails reviennent, des émotions aussi, et progressivement on est libéré du souvenir. C’était comme aller voir « l’exorciste » une cinquième fois.
La deuxième étape de cet outil de psychothérapie systémique : au coucher, on prend une douzaine d’images fortes du souvenir, on les encadre d’une bordure comme une photo, et on les passe en revue comme si c’était un album, jusqu’à s’endormir. On sait que le souvenir est complètement désactivé quand on oublie de faire l’exercice. La psychothérapie se fait en grande partie entre les entretiens, grâce aux tâches qui amènent des changements spontanés.
La psychothérapie systémique, c’est être invité à faire autrement, pour percevoir et comprendre autrement. Pas d’interprétation, juste des recadrage de sens qui vont nous aider à sortir du marécage !
Les rencontres ont été peu nombreuses, 7 séances au total sur 4 mois, et les tâches systémiques proposées entre les séances de psychothérapie lui ont permis d’avancer très vite. Un travail sur l’ici et maintenant et celui sur sa posture par rapport à certains événements douloureux du passé ont été menés de front. Ce jeune homme imaginatif et sensible a vite repris confiance et renoué des relations plus confiantes avec son entourage.
Vous souhaitez dépasser votre déprime, retrouver votre énergie, prendre confiance en vous, faire de votre passé une richesse, et cela rapidement ? Appelez-moi, au 0663049351 ou écrivez-moi sur le site.